Réouverture du parc de la Corbie
Soumis par Comité de campagne le dim, 31/05/2020 - 19:49
Le parc de la Corbie a été acheté en 2003 par la Mairie. Les élus de l'opposition d'alors - dont les héritiers sont la majorité actuelle - avaient voté contre cet achat et contre l'existence à Dammartin-en-Goële de ce magnifique parc qu'il fallait ensuite aménager et protéger. Trouvez dans cet article sur "Le Parc de la Corbie et les espaces naturels" les explications et l'histoire de cet achat et de l'aménagement de cette propriété pour en faire cet écrin en centre-ville, à la disposition des Dammartinois.
Délaissé depuis 2014 le parc s'est abîmé. Le peu d'entretien, malgré les efforts du personnel communal, et l'absence de poursuite de son aménagement nécessiteront à l'avenir une forte implication municipale.
Pour nous ce parc doit redevenir ce qu'il aurait dû être : un lien entre tous les quartiers de la ville. C'est pourquoi nous procéderons à l'ouverture de quatre entrées dont deux à créer, l'une depuis le Chemin de Saint-Ladre et l'autre depuis la Folle-Emprince.
Enfin, nous lui donnerons une vocation de poumon de la ville, d'espace culturel et de loisirs. Stéphane Jabut aborde ces questions dans cette vidéo.
Nota : depuis la publication de cette vidéo, et la distribution de notre Lettre d'Info n° 2, la municipalité en place cherche à intervenir sur notre page Facebook pour mentir et nous dénigrer. Nous rappelons que la page Facebook de notre liste, comme notre site, ne sont pas des espaces d'expression de la municipalité qui dispose, pour sa part, de bien d'autres moyens dans lesquels elle censure nos candidats élus en 2014 et qui siègent au Conseil municipal dans le groupe Agir ensemble pour notre ville.
Plusieurs articles à ce sujet :
Délaissé depuis 2014 le parc s'est abîmé. Le peu d'entretien, malgré les efforts du personnel communal, et l'absence de poursuite de son aménagement nécessiteront à l'avenir une forte implication municipale.
Pour nous ce parc doit redevenir ce qu'il aurait dû être : un lien entre tous les quartiers de la ville. C'est pourquoi nous procéderons à l'ouverture de quatre entrées dont deux à créer, l'une depuis le Chemin de Saint-Ladre et l'autre depuis la Folle-Emprince.
Enfin, nous lui donnerons une vocation de poumon de la ville, d'espace culturel et de loisirs. Stéphane Jabut aborde ces questions dans cette vidéo.
Nota : depuis la publication de cette vidéo, et la distribution de notre Lettre d'Info n° 2, la municipalité en place cherche à intervenir sur notre page Facebook pour mentir et nous dénigrer. Nous rappelons que la page Facebook de notre liste, comme notre site, ne sont pas des espaces d'expression de la municipalité qui dispose, pour sa part, de bien d'autres moyens dans lesquels elle censure nos candidats élus en 2014 et qui siègent au Conseil municipal dans le groupe Agir ensemble pour notre ville.
Plusieurs articles à ce sujet :
- "Face au déni de démocratie, demande de convocation du Conseil municipal" : article publié par les élus. Alors que le maire doit faire parvenir à tous les élus toutes les décisions qu'il prend depuis le début de l'état d'urgence sanitaire, il ne le fait pas. Il doit aussi réunir le Conseil municipal à la demande de 20% des conseillers, ce qu'il refuse de faire. La municipalité fonctionne dans l'opacité, s'affranchit des règles de la démocratie et semble considérer que les élus des Dammartinois, lorsqu'ils ne sont pas des proches du maire, ne doivent pas participer à la vie municipale.
- "Le maire nie la démocratie et s'en félicite" : article publié sur ce site qui fait le point sur le fonctionnement de la ville et répond à un communiqué de presse du maire où il reconnaît qu'il ne veut pas de démocratie à Dammartin-en-Goële.
- Pour que l'opposition ne puisse pas s'adresser aux Dammartinois la municipalité a supprimé depuis octobre 2019 le seul bulletin d'information de la commune, le Dammartinfos, dans lequel elle était obligée d'intégrer la tribune du groupe où siègent les élus candidats sur notre liste. Elle édite depuis des Lettres du Maire et des newsletters dans lesquels elle refuse l'expression des conseillers municipaux qui n'appartiennent pas à la majorité municipale, malgré un rappel à la loi.